Bonjour à tous,

J’ai rencontré Maîtresse L à nouveau le 21 mars 2012 pour la deuxième fois. Nous nous étions mises d’accord sur le fait que je devais être là à 13h30. Quelques jours avant, Maîtresse L m’avait envoyé un texto : « Pour mercredi prochain, j’aurai une bite à te faire sucer… Je veux voir si tu es une bonne lécheuse (…) et tu lècheras comme une bonne chienne, une bonne salope… ». Son texto m’avait beaucoup surprise. En effet, même si j’avais parfaitement conscience que ce moment arriverait, je ne pensais pas qu’il arriverait si tôt, dès notre deuxième rencontre. J’étais très partagée sur le sujet, à la fois cela m’excitait énormément mais j’avais également très peur. J’avais peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas faire honneur à ma Maîtresse, peur de ne pas être prête pour cela, …. Maîtresse L, sentant mon inquiétude, tentait de me rassurer : « Ne soit pas inquiète, tu seras parfaite et serai là, présente, à tes côtés ».

Beaucoup de questions m’envahissaient l’esprit : comment était cette queue que j’allais devoir sucer, allais-je devoir sucer avec ou sans préservatif, devrais-je la faire jouir dans ma bouche et tout avaler, devrais-je juste sucer ou également me faire baiser devant ma Maîtresse, ….. Je n’osais pas poser trop de question à ma Maîtresse alors je me contentais de lui demander : « Puis-je connaitre l’âge de l’homme que je devrais sucer Maîtresse ? Puis-je savoir s’il ne me verra qu’en Sabine ? ». Maîtresse L me répondait rapidement : « C’est un homme mur, de plus de 50 ans, et il ne connaitra que Sabine et ne verra qu’elle ».

Très excitée et très stressée, je me présentais donc  à la porte de ma Maîtresse le mercredi 21 mars à 13h30 précise. J’étais pluggée, comme Maîtresse L l’avait demandée. Elle m’accueillait, resplendissante, un sourire aux lèvres et m’invitait à entrer. Elle me demanda rapidement de me déshabiller et je m’exécutais. Je m’assis à ses pieds et nous commençâmes à parler, Maîtresse L l’indiquant que l’homme arriverait à 14h30 et qu’il était très excité à l’idée de me rencontrer. Elle tentait également de ma rassurer en me disant qu’elle le connaissait très bien, qu’il était sérieux, galant et intelligent. Elle me demanda si j’avais des questions. Je lui posais alors ma première question : « devrais-je le sucer avec ou sans préservatif Maîtresse ? ».  Maîtresse L me répondit : « Pour aujourd’hui avec préservatif. Mon rôle est d’assurer la sécurité de mes sujets. Lorsqu’il aura fait un test et que je serai allé avec lui le récupérer que le médecin, nous verrons, mais aujourd’hui ce sera avec. ». Je poussais, intérieurement, un ouf de soulagement. Cela me rassurait et ne faisait que confirmer la confiance déjà totale que j’avais en Maîtresse L. Je lui demandais ensuite : « Devrais-je simplement le sucer ou me baisera-t-il aussi devant vous Maîtresse ? ». Maîtresse L me répondit : « Tu le suceras uniquement. Allons-y doucement quand même. Et ne t’inquiète pas, je suis sûre que tu seras parfaite ». Je n’avais plus d’autres questions, sachant que j’aurais la réponse à celle qu’il me restait quelques minutes plus tard….

Maîtresse L entreprit donc de me préparer, de me transformer en Sabine. Elle souhaita que je remette l’ensemble rouge de la dernière fois, ensemble transparent avec porte-jarretelle et bas rouge intégrés, et un string noir en dessous, n’ayant pas, malheureusement, de string rouge. Ensuite, elle commença à me maquiller. Une fois maquillée, je dus mettre ma perruque rose et mes chaussures argentées. Maîtresse L me fit mettre à genoux. L’homme n’allait plus tarder….  

Quelques instants plus tard, Maîtresse L accueillait l’homme. J’étais stressé, me disant en moi-même que je pouvais plus reculer. Maîtresse L fit les présentations. L’homme lui indiqua presque immédiatement qu’il bandait. Maîtresse L fit assoir l’homme dans un fauteuil et m’ordonna de lui caresser la queue à travers le pantalon. Je m’exécutais. Il bandait, apparemment très dur. Après quelques instants à la caresser ainsi, Maîtresse L me demanda : « Tu aimerais la toucher ? ». Je lui répondais : « Oui Maîtresse ». Elle m’ordonna alors de lui déboutonner le pantalon. Je m’exécutais et lui baissais également son slip. Je commençais à branler doucement sa queue….

Maîtresse L me dit alors : « Aide-le à se déshabiller, il sera plus à l’aise ». Je délassais ses chaussures, l’aidait à les enlever, l’aidait également à enlever son pantalon, son slip et ses chaussettes. J’entrepris ensuite, sur les ordres de Maîtresse L, de lui mettre le préservatif. Je m’y pris mal, lui faisant mal. Il le mis alors lui-même. Maîtresse L m’ordonna de le sucer. J’approchais ma bouche et enfournait sa queue dans ma bouche, commençant à le sucer doucement. Maîtresse L demanda à l’homme : « Tu sens sa langue ? ». L’homme lui répondit : « Non ». Je faisais alors de mon mieux pour que l’homme sente ma langue. Je passais ma langue sur son gland et tout le long de sa queue avant de l’enfourner à nouveau dans ma bouche. Maîtresse L demanda alors à l’homme : « Elle suce bien ? ». L’homme lui répondit : « Oui, elle suce bien et profondément ». A la demande de l’homme, je devais sucer sans les mains, sans le branler en même temps, juste avec ma bouche de chienne. Je dus ensuite lui lécher les couilles avant de recommencer à le sucer. Pendant ce temps, Maîtresse L jouait avec mon plug, tapotant dessus.

Soudain, Maîtresse L demanda à l’homme : « Tu as envi de la baiser ? ». L’homme répondit : « Oui ». Je sentis alors la bouche de Maîtresse L s’approcher de mon oreille. Elle me murmura : « Tu as envi qu’il te baise ma belle salope ? ». Presque sans y penser, malgré le stresse, malgré le fait qu’il était uniquement prévu que le suce, je répondais immédiatement « Oui Maîtresse ». Maîtresse L me retira alors le plug, l’homme vint se placer derrière moi, Maîtresse L prit sa place sur le fauteuil et me posa la tête sur ses genoux. L’homme mis du gel sur mon cul de chienne et, après quelques instants, y enfourna sa queue. J’avais très peur d’avoir mal mais je m’aperçus très rapidement que je ressentais aucune douleur. Au contraire, j’aimais les va-et-vient de sa queue, ça me faisait du bien, c’était bon. Pendant qu’il me baisait, ma tête posée sur les genoux de ma Maîtresse, Maîtresse L me murmurait : « Je veux t’entendre gémir, montre que tu aimes ça ! ». Et je gémissais, comme une chienne, comme une salope, qui aime se faire baiser, se faire défoncer, devant sa Maîtresse, pour leur plaisir à toutes les deux. Il me baisa ainsi, comme une chienne, pendant quelques minutes avant que Maîtresse L ne l’arrête. Il revint alors, sur les ordres de Maîtresse L, se repositionner devant moi et je dus recommencer à le sucer. Maîtresse L m’appuyait sur le tête afin que je le suce le plus profondément possible.

Finalement, l’homme retira le préservatif, et commença à se branler. Je dus approcher mon visage de sa bite. Maîtresse L m’ordonna : « ferme la bouche ». Je m’exécutais. L’homme finit, quelques instants plus tard, par jouir sur mon visage. Maîtresse L lui demanda alors : « Alors, qu’as-tu pensé de Sabine, de sa bouche et de son cul ? ». L’homme répondit : « Elle suce très bien et son cul est bien large, chaud et humide ». J’étais très fière même si j’attendais impatiemment de savoir ce que Maîtresse L avait pensé de moi, sa chienne, sa salope. Je dus aider l’homme à se rhabiller puis Maîtresse L le raccompagna.

Maîtresse L revint rapidement, une large sourire illuminant son visage. Elle me dit : « Je suis très fière de toi. Tu as été parfaite. J’ai beaucoup aimé que tu l’appelles Monsieur. ». Puis, elle me fit mettre à quatre pattes, enfila des gants, et me dit : « Maintenant, je vais reprendre ce qui m’appartient ». Rapidement, je sentis ses doigts entrer dans mon cul de chienne, de plus en plus de doigts, c’était divin. Et même si j’ai beaucoup aimé me faire baiser devant ma Maîtresse, rien ne remplace ses doigts. J’adore ses doigts, j’adore les sentir entrer et sortir de mon cul de salope, j’aimerais que ce va-et-vient ne s’arrête jamais tellement j’aime ça. Maîtresse exigea ensuite que je branle et que je jouisse par terre. Je m’exécutais et je ne tardais pas à jouir. Je dus ensuite lécher ma semence qui s’était répandu par terre, tout lécher.

J’ai adoré cette deuxième rencontre même si j’étais plus attentive, pendant une partie de notre rencontre, à la gestion de mon stress et au fait de lui faire honneur qu’à autre chose. Avec le recul, je me suis sentis très chienne, très salope. J’ai également sentis que je franchissais une étape, que mon appartenance à Maîtresse L devenait plus importante, plus forte. Tout cela ne fait que confirmer ce profond sentiment, intense et si particulier, ressentit dès notre première rencontre : J’ai trouver celle que je cherchais depuis si longtemps.

J’espère que ce récit vous a plu, le récit de ma deuxième rencontre avec Maîtresse L. Je puis vous assurer de la véracité de l’intégralité de ce récit et je vous l’ai relaté tel que je l’avais vécu, grâce à Maîtresse L.

N’hésitez pas à poster des commentaires si le cœur vous en dit et à très vite pour la suite de mon dressage aux pieds de Maîtresse L.

Sabine, chienne de Maîtresse L.