Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 10:32

Bonjour à tous,

Me voilà à nouveau en train d'écrire pour vous conter ma troisième rencontre avec Maîtresse L. Celle-ci s'est déroulé le mercredi 28 mars dernier. Au préalable, nous avions convenu avec Maîtresse L que j'aille le matin à Pigalle acheter un string rouge, pour aller avec un ensemble transparent rouge dont je disposais. Maîtresse L aime beaucoup le rouge.

Je me rendais donc à Pigalle le matin, seule, Maîtresse L n'ayant finalement pas pu m'accompagner. Avant de partir pour Pigalle, je mettais fait plusieurs lavement pour m'assurer d'être bien propre et je m'étais pluggée, comme l'avait exigée Maîtresse L. Arrivée dans la boutique, je lui envoyais un texto pour l'informer que j'étais arrivée et pour lui demander si je devais acheter autre chose. Je proposais également à Maîtresse L d'acheter des choses pour elle si elle le souhait. Maîtresse L me répondait rapidement qu'elle souhaitait que j'achète également des chaussures à talons, soft, noire, et pas vernies mais que je ne devais rien acheter avant de lui avoir envoyé une photo des chaussures afin qu'elle puisse vérifier que cela lui convenait. Elle souhaitait également que je lui envoie une photo des strings. Pour finir, elle me disait de ne rien acheter pour elle, que nous irions également faire des courses près de chez elle plus tard dans la journée.

Je trouvais deux strings rouges dans le magasin et je les prenais donc en photos, un peu gènée mais finalement beaucoup moins que je ne l'aurais cru. Maîtresse L me répondait de prendre les deux. Je m'exécutais. Je changeais ensuite de boutique pour aller acheter des chaussures. Là encore, je prenais en photo deux modèles qui pouvaient correspondre à la demande de Maîtresse et lui envoyaient. Elle me répondait aussitôt en m'indiquant le modèle qu'elle avait choisi. Je l'achetais donc puis regagnait ma voiture pour me rendre chez Maîtresse L.

J'arrivais chez elle à 13h00 et patientait une trentaine de minutes afin qu'elle finisse de se préparer. Nous partimes ensuite faire les boutiques dans une zone d'activité proche de chez elle. J'étais très heureuse d'aller faire les boutiques avec Maîtresse L. Nous allâmes tout d'abord chez Kiabi. Maîtresse L parcourrait les rayons, regardait ce qui correspondait à ses gouts pour moi, me mettant parfois une robe ou un haut devant moi pour vérifier. De mon côté, je la suivais, portant les habits qu'elle m'avait choisi. Nous parcourumes ainsi les rayons un certain temps, y compris le rayon des "accessoires" et Maîtresse L me choisit quelques bijoux.

Soudain, Maîtresse L se tourna vers moi, son regard brillait et, en souriant, me dit : "C'est bientôt mon anniversaire et je veux sortir avec Sabine pour le fêter. Il faut donc te trouver une tenue de soirée...". Mes regards du sûrement briller également à l'idée de sortir ainsi avec Maîtresse L, intégralement travestie. Et je ressentis un immense bonheur, le bonheur de sortir avec Maîtresse L évidemment mais également l'immense bonheur que Maîtresse L souhaite fêter son anniversaire avec moi. 

Quelques instants plus tard, Maîtresse se dirigea vers les cabines d'essayage, choisit une cabine et me dit : "Essaye tout ça". Un peu génée mais surtout très excitée, je m'exécutais. J'essayais ainsi ce que Maîtresse L m'avait choisi, certains habits étaient trop petits, d'autres semblaient convenir à Maîtresse L.  Au total, j'essayais 2 robes, 3 jupes et 4 hauts. Nous nous dirigeâmes ensuite vers les caisses. Maîtresse L avaient choisiles 3 jupes et les 4 hauts, ainsi que quelques bijoux. Elle me dit : "Je t'abondonne quelques instants, paie, je déteste faire la queue". Je m'exécutais. Je rejoignais Maîtresse L dehors. Nous allâmes ensuite chez Jennyfer et Maîtresse L me choisit une nuisette, que je dus évidemment essayer. J'essayais également une veste mais elle était vraiment trop petite. 

Les bras chargés de ma nouvelle garde-robe, nous primes alors le chemin du retour pour retourner chez Maîtresse. Parmi les bijoux que Maîtresse L m'avait choisi, il y a avait un collier avec un pendentif : une clé. La clé était le symbole de mon appartenant à Maîtresse L.

Arrivées chez elle, Maîtresse L m'indiqua qu'elle avait pensée à moi et me demanda de mettre une perruque blonde, beaucoup plus discrète que ma perruque rose, surtout pour sortir ainsi, dans la rue, aux yeux de tous. Je demandais à Maîtresse L : "Pensez-vous que je sois prête à sortir travestie Maîtresse ?". Elle me répondit : "Oui tu es prête. Si tu n'étais pas prête, tu n'aurais pas pu essayer tout cela dans les magasins devant les autres clientes". J'étais tellement heureuse de sa réponse et tellement excitée à l'idée de sortir avec ma Maîtresse.

Maîtresse L exigea ensuite que je mette la nuisette que nous avions acheter ainsi qu'un porte-jarretelle et des bas noirs, l'un des strings rouges que j'avais acheter le matin et les chaussures que j'avais également acheter le matin. Elle me fit ensuite mettre à 4 pattes.

Elle entrepit alors de me travailler les tétons avec ses doigts pendant plusieurs minutes. C'était divin. Je sentais ses doigts griffer, pincer mes tétons, les remuer, les tirer, c'était très bon et cela m'excitait beaucoup. Puis, elle décida de me travailler à nouveau le cul avec ses doigts. Ses doigts prirent rapidement la place du plug et s'enfoncèrent en moi. Je ne sais combien de doigts elle mit mais je sentis qu'elle aurait pu me fister sans trop de difficulté, ayant été bien ouverte par le plug que j'avais gardé plusieurs heures. Je sentais ses doigts entrer et sortir de mon cul de salope. J'adore ça, j'adore que Maîtresse L me baise avec ses doigts, c'est si bon que j'aimerais que ça ne s'arrête pas. Maîtresse exigea que je me caresse et que je jouisse dans ma main tout en continuant ses va-et-vient dans mon cul de chienne. Je m'exécutais mais me caressait très doucement, pour ne pas jouir trop vite, pour faire durer la divine sensation des doigts de ma Maîtresse allant et venant dans mon cul. Je finis par jouir et Maîtresse L m'ordonna de tout lécher. Je m'exécutais et avalais tout.

Ainsi s'achève ma troisième rencontre avec Maîtresse L. Et, déjà, je lui appartiens totalement. J'ai hâte de la revoir, hâte que Maîtresse L continue à prendre possession de moi, totalement, hâte de sortir avec elle, travestie, hâte de plonger à nouveau dans l'inconnu grâce à elle. 

"Merci Maîtresse pour tout cela et à très vite."

Sabine, chienne de Maîtresse L.

Par Sabine
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Dimanche 25 mars 7 25 /03 /Mars 19:57

Bonjour à tous,

 

J’ai rencontré Maîtresse L à nouveau le 21 mars 2012 pour la deuxième fois. Nous nous étions mises d’accord sur le fait que je devais être là à 13h30. Quelques jours avant, Maîtresse L m’avait envoyé un texto : « Pour mercredi prochain, j’aurai une bite à te faire sucer… Je veux voir si tu es une bonne lécheuse (…) et tu lècheras comme une bonne chienne, une bonne salope… ». Son texto m’avait beaucoup surprise. En effet, même si j’avais parfaitement conscience que ce moment arriverait, je ne pensais pas qu’il arriverait si tôt, dès notre deuxième rencontre. J’étais très partagée sur le sujet, à la fois cela m’excitait énormément mais j’avais également très peur. J’avais peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas faire honneur à ma Maîtresse, peur de ne pas être prête pour cela, …. Maîtresse L, sentant mon inquiétude, tentait de me rassurer : « Ne soit pas inquiète, tu seras parfaite et serai là, présente, à tes côtés ».

 

Beaucoup de questions m’envahissaient l’esprit : comment était cette queue que j’allais devoir sucer, allais-je devoir sucer avec ou sans préservatif, devrais-je la faire jouir dans ma bouche et tout avaler, devrais-je juste sucer ou également me faire baiser devant ma Maîtresse, ….. Je n’osais pas poser trop de question à ma Maîtresse alors je me contentais de lui demander : « Puis-je connaitre l’âge de l’homme que je devrais sucer Maîtresse ? Puis-je savoir s’il ne me verra qu’en Sabine ? ». Maîtresse L me répondait rapidement : « C’est un homme mur, de plus de 50 ans, et il ne connaitra que Sabine et ne verra qu’elle ».

 

Très excitée et très stressée, je me présentais donc  à la porte de ma Maîtresse le mercredi 21 mars à 13h30 précise. J’étais pluggée, comme Maîtresse L l’avait demandée. Elle m’accueillait, resplendissante, un sourire aux lèvres et m’invitait à entrer. Elle me demanda rapidement de me déshabiller et je m’exécutais. Je m’assis à ses pieds et nous commençâmes à parler, Maîtresse L l’indiquant que l’homme arriverait à 14h30 et qu’il était très excité à l’idée de me rencontrer. Elle tentait également de ma rassurer en me disant qu’elle le connaissait très bien, qu’il était sérieux, galant et intelligent. Elle me demanda si j’avais des questions. Je lui posais alors ma première question : « devrais-je le sucer avec ou sans préservatif Maîtresse ? ».  Maîtresse L me répondit : « Pour aujourd’hui avec préservatif. Mon rôle est d’assurer la sécurité de mes sujets. Lorsqu’il aura fait un test et que je serai allé avec lui le récupérer que le médecin, nous verrons, mais aujourd’hui ce sera avec. ». Je poussais, intérieurement, un ouf de soulagement. Cela me rassurait et ne faisait que confirmer la confiance déjà totale que j’avais en Maîtresse L. Je lui demandais ensuite : « Devrais-je simplement le sucer ou me baisera-t-il aussi devant vous Maîtresse ? ». Maîtresse L me répondit : « Tu le suceras uniquement. Allons-y doucement quand même. Et ne t’inquiète pas, je suis sûre que tu seras parfaite ». Je n’avais plus d’autres questions, sachant que j’aurais la réponse à celle qu’il me restait quelques minutes plus tard….

 

Maîtresse L entreprit donc de me préparer, de me transformer en Sabine. Elle souhaita que je remette l’ensemble rouge de la dernière fois, ensemble transparent avec porte-jarretelle et bas rouge intégrés, et un string noir en dessous, n’ayant pas, malheureusement, de string rouge. Ensuite, elle commença à me maquiller. Une fois maquillée, je dus mettre ma perruque rose et mes chaussures argentées. Maîtresse L me fit mettre à genoux. L’homme n’allait plus tarder….  

 

Quelques instants plus tard, Maîtresse L accueillait l’homme. J’étais stressé, me disant en moi-même que je pouvais plus reculer. Maîtresse L fit les présentations. L’homme lui indiqua presque immédiatement qu’il bandait. Maîtresse L fit assoir l’homme dans un fauteuil et m’ordonna de lui caresser la queue à travers le pantalon. Je m’exécutais. Il bandait, apparemment très dur. Après quelques instants à la caresser ainsi, Maîtresse L me demanda : « Tu aimerais la toucher ? ». Je lui répondais : « Oui Maîtresse ». Elle m’ordonna alors de lui déboutonner le pantalon. Je m’exécutais et lui baissais également son slip. Je commençais à branler doucement sa queue….

 

Maîtresse L me dit alors : « Aide-le à se déshabiller, il sera plus à l’aise ». Je délassais ses chaussures, l’aidait à les enlever, l’aidait également à enlever son pantalon, son slip et ses chaussettes. J’entrepris ensuite, sur les ordres de Maîtresse L, de lui mettre le préservatif. Je m’y pris mal, lui faisant mal. Il le mis alors lui-même. Maîtresse L m’ordonna de le sucer. J’approchais ma bouche et enfournait sa queue dans ma bouche, commençant à le sucer doucement. Maîtresse L demanda à l’homme : « Tu sens sa langue ? ». L’homme lui répondit : « Non ». Je faisais alors de mon mieux pour que l’homme sente ma langue. Je passais ma langue sur son gland et tout le long de sa queue avant de l’enfourner à nouveau dans ma bouche. Maîtresse L demanda alors à l’homme : « Elle suce bien ? ». L’homme lui répondit : « Oui, elle suce bien et profondément ». A la demande de l’homme, je devais sucer sans les mains, sans le branler en même temps, juste avec ma bouche de chienne. Je dus ensuite lui lécher les couilles avant de recommencer à le sucer. Pendant ce temps, Maîtresse L jouait avec mon plug, tapotant dessus.

 

Soudain, Maîtresse L demanda à l’homme : « Tu as envi de la baiser ? ». L’homme répondit : « Oui ». Je sentis alors la bouche de Maîtresse L s’approcher de mon oreille. Elle me murmura : « Tu as envi qu’il te baise ma belle salope ? ». Presque sans y penser, malgré le stresse, malgré le fait qu’il était uniquement prévu que le suce, je répondais immédiatement « Oui Maîtresse ». Maîtresse L me retira alors le plug, l’homme vint se placer derrière moi, Maîtresse L prit sa place sur le fauteuil et me posa la tête sur ses genoux. L’homme mis du gel sur mon cul de chienne et, après quelques instants, y enfourna sa queue. J’avais très peur d’avoir mal mais je m’aperçus très rapidement que je ressentais aucune douleur. Au contraire, j’aimais les va-et-vient de sa queue, ça me faisait du bien, c’était bon. Pendant qu’il me baisait, ma tête posée sur les genoux de ma Maîtresse, Maîtresse L me murmurait : « Je veux t’entendre gémir, montre que tu aimes ça ! ». Et je gémissais, comme une chienne, comme une salope, qui aime se faire baiser, se faire défoncer, devant sa Maîtresse, pour leur plaisir à toutes les deux. Il me baisa ainsi, comme une chienne, pendant quelques minutes avant que Maîtresse L ne l’arrête. Il revint alors, sur les ordres de Maîtresse L, se repositionner devant moi et je dus recommencer à le sucer. Maîtresse L m’appuyait sur le tête afin que je le suce le plus profondément possible.

 

Finalement, l’homme retira le préservatif, et commença à se branler. Je dus approcher mon visage de sa bite. Maîtresse L m’ordonna : « ferme la bouche ». Je m’exécutais. L’homme finit, quelques instants plus tard, par jouir sur mon visage. Maîtresse L lui demanda alors : « Alors, qu’as-tu pensé de Sabine, de sa bouche et de son cul ? ». L’homme répondit : « Elle suce très bien et son cul est bien large, chaud et humide ». J’étais très fière même si j’attendais impatiemment de savoir ce que Maîtresse L avait pensé de moi, sa chienne, sa salope. Je dus aider l’homme à se rhabiller puis Maîtresse L le raccompagna.

 

Maîtresse L revint rapidement, une large sourire illuminant son visage. Elle me dit : « Je suis très fière de toi. Tu as été parfaite. J’ai beaucoup aimé que tu l’appelles Monsieur. ». Puis, elle me fit mettre à quatre pattes, enfila des gants, et me dit : « Maintenant, je vais reprendre ce qui m’appartient ». Rapidement, je sentis ses doigts entrer dans mon cul de chienne, de plus en plus de doigts, c’était divin. Et même si j’ai beaucoup aimé me faire baiser devant ma Maîtresse, rien ne remplace ses doigts. J’adore ses doigts, j’adore les sentir entrer et sortir de mon cul de salope, j’aimerais que ce va-et-vient ne s’arrête jamais tellement j’aime ça. Maîtresse exigea ensuite que je branle et que je jouisse par terre. Je m’exécutais et je ne tardais pas à jouir. Je dus ensuite lécher ma semence qui s’était répandu par terre, tout lécher.

 

J’ai adoré cette deuxième rencontre même si j’étais plus attentive, pendant une partie de notre rencontre, à la gestion de mon stress et au fait de lui faire honneur qu’à autre chose. Avec le recul, je me suis sentis très chienne, très salope. J’ai également sentis que je franchissais une étape, que mon appartenance à Maîtresse L devenait plus importante, plus forte. Tout cela ne fait que confirmer ce profond sentiment, intense et si particulier, ressentit dès notre première rencontre : J’ai trouver celle que je cherchais depuis si longtemps.

 

J’espère que ce récit vous a plu, le récit de ma deuxième rencontre avec Maîtresse L. Je puis vous assurer de la véracité de l’intégralité de ce récit et je vous l’ai relaté tel que je l’avais vécu, grâce à Maîtresse L.

 

N’hésitez pas à poster des commentaires si le cœur vous en dit et à très vite pour la suite de mon dressage aux pieds de Maîtresse L.

 

Sabine, chienne de Maîtresse L.

Par Sabine
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Dimanche 11 mars 7 11 /03 /Mars 00:44

Bonjour à tous, 

 

Je vais vous raconter de quelle façon s'est déroulée ma première rencontre avec Maîtresse L, une rencontre qui restera à jamais gravée dans ma mémoire.

 

J'ai rencontré Maîtresse L pour la première fois le 08 mars 2012. Après quelques contacts par mails et par texto, Maîtresse L m'avait fixée rendez-vous près de chez elle à 16h30. J'étais très impatiente de la rencontrer et j'avais pris une marge afin d'être sûre de ne pas être en retard. Maîtresse L m'avait demandé d'amener les habits de femmes dont je disposais et de venir pluggée. 

 

J'arrivais donc au lieu du rendez-vous vers 16h15, un plug profondément enfoncé dans mon cul de chienne, et lui envoyait un texto pour lui indiquer que j'étais arrivée. Maîtresse L me répondit rapidement en me demandant si j'acceptais de l'accompagner acheter des cigarettes. J'acceptais évidemment avec enthousiasme. Quelques minutes plus tard, je vis une femme magnifique arriver et nous nous reconnûmes immédiatement alors que nous ne nous étions pourtant jamais vu. Maîtresse L me dit alors : "Tu m'ouvres la portière ?". Sa voix était charmante, douce, calme, et sa façon de prononcer ces mots faisait de sa phrase tout à la fois une question, une invitation et un ordre. Je m'exécutais, immédiatement.

 

Dans la voiture, sur la route du tabac, Maîtresse L passa un coup de fil. J'étais de mon côté à la fois nerveuse et excitée. Soudain, j'entendis Maîtresse L dire à son interlocutrice : "je suis avec ma pute qui m'emmène acheter des cigarettes". Et là, je sus, je sus que j'allais vivre un moment inoubliable et que, déjà, je voulais lui appartenir, je lui appartenais.

 

Je déposais donc Maîtresse L devant le tabac et, la laissant aller acheter ses cigarettes, je sortais de la voiture pour être prête à lui ouvrir la portière lorsque qu'elle ressortirait du tabac, ce que je faisais quelques instants plus tard.

 

Nous allâmes chez elle, elle me fit entrer dans une pièce spécialement aménagée au rez de chaussée de sa maison. Elle me demanda de me déshabiller totalement et je m'exécutais, rapidement. Maîtresse L me demanda alors de m'assoir et nous discutâmes de longues minutes, moi lui racontant mes expériences, lui en dévoilant un peu plus sur moi, et elle m'indiquant de quelle façon elle voyait les choses, la façon dont elle envisageait la suite et les étapes de mon évolution. 

 

Ainsi, elle m'indiqua que la première étape de mon dressage serait de sortir avec elle faire les boutiques ou boire un verre, moi en travestie intégrale bien évidemment. Maîtresse L me précisa bien sûr que pour cela il me faudrait être crédible et que cela passait forcément par la disparition des poils que j'avais sur le torse et les jambes. J'acquiessais. Sortir en travestie intégrale faisait depuis longtemps parti de mes fantasmes et j'étais très excité à l'idée de réaliser cela, un jour prochain, avec Maîtresse L.

 

Maîtresse L me demanda ensuite de lui montrer ce que j'avais amener. Je lui déballais donc mes habits de femmes, lui montrant chaque vêtement. Son choix se porta sur un ensemble rouge et une robe en vynile noir. Mais avant de m'habiller, elle me demanda de mettre les faux seins que j'avais amener avec un soutien gorge noir. Je m'exécutais. J'enfilais ensuite l'ensemble rouge et la robe en vynile noir.

 

Une fois vêtu, Maîtresse L entreprit de me maquiller et, sous ses doigts agiles, ma transformation se poursuivit. Habillée, maquillée, il ne me manquait plus que la perruque. Ce fut chose faite avec la perruque rose que j'avais apporter. Satisfaite, Maîtresse L me regarda avec un sourire et me dit : "c'est bluffant". Pour immortaliser ce moment, Maîtresse L décida de prendre des photos. Je me sentais à la fois femme, salope, chienne, je sentais que déjà, j'appartenais à Maîtresse L et qu'elle pourrait faire de moi ce que bon lui semblerait et m'utiliser à sa guise pour assouvir ses perversions les plus hard.

 

Après m'avoir photographier avec diverses expressions de visages, Maîtresse L me demanda de me mettre à quatre pattes, pris à nouveau quelques photos, et entrepris de me retirer mon plug. Ce fut chose facile, mon cul de chienne étant déjà bien ouvert et assoupli.

 

Toujours à quatre pattes, je l'entendis mettre des gants puis je sentis un glel frais couler sur mon anus et les doigts gantés de Maîtresse L l'étaler. Puis je sentis son premier doigt entrer en moi, puis un deuxième. J'étais très excitée et Maîtresse L commença à faire des va-et-vient dans mon cul avec ses doigts. C'était divin. Après quelques minutes de ce traitement, je sentis que Maîtresse L faisait entrer un troisième puis un quatrième doigt. Les va-et-vient se fire plus intense et Maîtresse L commença à me dire ce qu'à l'avenir elle ferait de moi.

 

Ainsi, elle me dit que je sucerai des queues pour elle, que j'avalerai du sperme. Elle me dit que je me ferai baiser pour elle, qu'elle me trouverait un black avec un très grosse queue pour bien me défoncer le cul devant elle. Elle me dit qu'elle m'offrirait à plusieurs hommes, qui me défoncerait le cul devant elle et me jouirait dans le cul, que je sentirais le sperme couler de mon cul de chienne, dégouliner par terre et que je devrais tout lécher jusqu'à la dernière goutte. Elle me dit qu'après cela elle demanderait à un homme de s'assoir sur une chaise et, comme je serai déjà bien dilater, qu'elle m'ordonnerait de m'empaler dessus. Elle dirait à l'homme de ne pas bouger, que c'était à la salope, à moi de bouger et de m'empaler sur sa queue. Elle me dit que si j'avais mal au cul je devrais m'empaler quand même sinon elle m'appuierait sur les cuisses pour que je m'empale à fond. Et pendant que Maîtresse L me disait tout cela, son cinquième doigt était entré dans mon cul de salope et les va-et-vient de ses 5 doigts étaient de plus en plus rapide, de plus en plus profond.

 

De mon côté, en sentant ainsi ces doigts entrer et sortir de mon cul de chienne, en entendant ses paroles, j'avais peur de jouir, peur que le fait de jouir de mette un terme à ce divin moment durant lequel Maîtresse L fouillait mon cul de chienne et durant lequel je m'imaginais déjà assouvissant les perversions de ma Maîtresse en suçant des queues et en me faisant baiser pour elle, devant elle.

 

Maîtresse exigea que je me branle et jouisse dans ma main. Je m'exécutais et jouissais, dans un long râle, un bonne quantité de sperme chaud que je conservais précieusement au creux de ma main. Maîtresse L sortit alors ses doigts de mon cul de chienne et repris l'appareil photo. Elle me dit : "Lèche !!". Je m'exécutais du bout d ela langue, attendant l'apparition du flash. Maîtresse L se fit alors plus pressente : "Lèche salope !!!". Je m'exécutais cette fois-ci à grands coups de langue et avalait tout, jusqu'à la dernière goutte.

 

Ma semence ainsi avalée, Maîtresse L me regarda et me dit : "Tu attendais le flash ? Il n'y en a pas eu car je t'ai filmée". C'est ainsi que j'appris que Maîtresse L m'avait filmée en train de lécher mon sperme, de l'avaler et cela m'excita énormément. Vous trouverez d'ailleurs le film ci-dessous. J'espère qu'il vous plaira.

 


 

 

Maîtresse L souhaita ensuite connaitre mon ressenti, ce que j'avais pensé de ce que je venais de vivre. Alors je lui racontais ce que j'avais ressenti au plus profond de moi : "Quel merveilleux moment Maîtresse !!! Durant ce moment passé ensemble, je me suis sentie tour à tour observée, sondée (au propre comme au figuré d'ailleurs), féminine, chienne, salope, d'une certaine façon comme si je vous appartenais déjà totalement. Je me suis laissé faire, c'était tellement bon, tellement bon de se faire maquiller, de se faire photographier, de sentir vos doigts entrer et sortir de mon cul de chienne. Et que c'était bon, sentant vos doigts dans mon cul de chienne, vous entendre dire que j'allais sucer des queues devant vous, que vous exigeriez que j'avale le sperme chaud, je vous exigerez que je me fasse baiser sans capote pour me faire jouir dans le cul, que je sentirai le sperme dégouliner de mon cul, tomber par terre, que vous exigeriez que je lèche le sol pour avaler le sperme jusqu'à la dernière goutte..... hummmm, je vous avoue que cela m'a énormément excitée Maîtresse et que j'espère, sous vos ordres, pouvoir un jour réaliser tout cela devant vous, pour vous Maîtresse.".

 

Ainsi s'acheva ma première rencontre avec Maîtresse L qui, je l'espère, en appellera beaucoup d'autres. Au plus profond de moi, je sens que je lui appartiens déjà et que son pouvoir sur moi est déjà très fort. Je sens qu'elle m'emmenera très loin dans le vice et la perversion et, rien que le fait de l'imaginer, me comble de joie. Je sais maintenant que je veux appartenir totalement à Maîtresse L, deveinr Sa propriété, Sa chienne, Sa salope, Sa soumise et je ferai de mon mieux pour cela.

 

A très bientôt pour la suite de mon dressage.

 

Sabine, chienne de Maîtresse L.

Par Sabine
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